Catégories: Automobile
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5 mars 2020 23 h 00 min

Les caisses de la rédac' : épisode 3

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Après le premier volet publié lundi et le deuxième mardi, la rédaction vous propose un petit rendez-vous pour vous faire découvrir les voitures qui font leur quotidien.
Cette petite présentation vous permettra chers lecteurs de mieux nous connaître mais pas seulement.
Posez-nous vos questions via l’espace commentaire au sujet de ces voitures de tous les jours.
Nous nous ferons un plaisir de partager avec vous nos expériences !C’est ce qu’on appelle un achat d’étudiant.
On arrive dans une nouvelle région, où les solutions de transports et les envies d’évasion vous poussent à chercher une voiture à moindres frais.
Après 4 ans en Toyota Yaris I, c’est ainsi que je me suis offert cette Opel Corsa 1ère génération.
Que dire, si ce n’est qu’elle est bourrée d’autant d’atouts que de défauts.
Cette Corsa doit être unique sur cette planète.
Déjà, son style.
Ses épaules prononcées pour une voiture dessinée dans la fin des années 80, c’est peu courant.
Opel Corsa D 1991Son restylage a amené une calandre plus large avec le logo au-dessus et des petites refontes à l’intérieur, c’est ce modèle de Série A que je possède, même la fin de la génération puisqu’elle sera remplacée par la rondouillette seconde mouture quelques mois après ce modèle 1991.
Sous la capot pas nervuré, un bon vieux diesel Isuzu, très réputé pour sa fiabilité, qui dure selon les diverses annonces vues sur le net, quelques 400.
000 km.
La mienne a 150.
000, elle durera encore 20 ans me dis-je.
Cette Corsa D n’est pas un monstre de puissance, elle doit faire officieusement 65 ch, soit 50 après vieillissement.
Mais en tenant compte de la carrosserie “société”, qui laisse 1,5 mètres de plaque en métal derrière les places arrière, le poids est juste très faible.
A sec, elle doit être à vue de nez à moins de 600 kg, ce qui donne des accélérations inattendues pour une telle voiture.
Les défauts, un siège récalcitrant, des freins désastreux, des phares qui éclairent une moitié de d’aile de mouche, une ventilation qui commence à être efficace une fois arrivé à bon port, une capacité à loger des insectes sans permission.
Les qualités : un autoradio permettant le branchement du baladeur MP3 via la cassette-adaptateur, un coffre énorme qui permet aussi de dormir tranquillement avec l’aide de quelques couvertures.
Bref, une voiture que l’on aime autant qu’on la déteste.

Mots clés: opel corsa

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