Chevrolet cherche par tous les moyens à s’attaquer aux constructeurs européens : Aveo, Cruze et désormais Malibu.
Cette nouvelle Malibu a la tâche ardue de séduire sur le marché de la berline tricorps : Audi A4, VW Passat ou encore Citroën C5.
A la première approche si de face et de l’arrière (même dessin des feux que la Camaro), on reconnaît une américaine, de profil, c’est plus compliqué, signe peut-être que cette auto parvient à se fondre un peu plus dans la masse.
Chevrolet MalibuUne fois installé à bord, on reconnaît le “toucher” du fauteuil : comme dans un sofa, c’est US, pas de doute.
Les plastiques montent encore en gamme par rapport à un Chevrolet Captiva.
Même son de cloche à l’arrière, l’espace aux jambes est correcte, avec mon 1m89, je ne suis pas coincé comme une sardine dans sa boîte.
Si le toucher est presque moelleux sur les plastiques à l’arrière, leurs aspects un peu trop granuleux est moyen à mon goût.
J’ai même du m’y reprendre à deux fois tellement je m’attendais à un plastique dur.
Le coffre révèle une belle capacité de chargement, même si nous ne disposons pas encore de sa contenance précise.
Moteurs :La Malibu sera proposée avec un moteur 4 cylindres se caractérisant par sa puissance et sa sobriété, avec un diesel, de 2,0 litre de cylindrée et de 164 ch.
En Europe, la nouvelle Malibu sera disponible à la fois en boite manuelle ou en boite automatique.
Sécurité :Les systèmes de contrôle châssis comprennent des freins ABS quatre canaux, un antipatinage toutes fonctions, un contrôle électronique de trajectoire (ESC), un répartiteur électronique de freinage (EBD), une aide au freinage d’urgence (BA), une gestion du freinage en courbe, une gestion de l’évanouissement des freins et du couple.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension