Catégories: Automobile
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2 mars 2020 15 h 15 min

Toyota iQ City Racer

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L’iQ ne fait pas carton plein, loin s’en faut, mais Toyota ne délaisse pas sa puce pour autant.
La seule véritable concurrente de la Smart a sa raison d’être, à la fois dans la gamme du constructeur japonais et sur le marché automobile.
Mieux vaut être présent en avance, quitte à attendre le succès, que de ne pas être présent du tout.
Mais l’iQ doit continuer de faire parler d’elle.
Certes, elle le fait de belle manière en s’anoblissant chez Aston Martin sous le nom de Cygnet mais chez Toyota, il n’y a pas de telle version apte à tirer la gamme en avant.
C’est donc le rôle qui échoie à cette iQ City Racer, même si celle-ci est pour le moment une série limitée à 300 exemplaires.
Certes, ne cherchez pas de transformation mécanique mais Toyota a heureusement retenu la motorisation la plus puissante sous le capot, le quatre cylindres 1.
3 litre de 100 ch issu de la Yaris.
Côté carrosserie, en revanche, la mutation est spectaculaire.
Coques de rétroviseurs en carbone, jantes de 16 pouces, carrosserie orange ornée de bandes noires, canule d’échappement chromée, sellerie mixte cuir/tissu, GPS, carte mains libres, climatisation automatique, la mini de Toyota fait le plein… et le fera payer puisqu’il faudra quand même débourser pas moins de 19 950 € pour l’acquérir… ce qui fait quand même cher du mètre !

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