Furieusement britannique jusqu’au bout des jantes, bien que détenue par BMW, la Mini peut être légitimement considérée comme l’une des rares marques d’une industrie automobile britannique autrefois florissante.
Et comme tout objet fashion qui se respecte, ma Mini n’échappe pas aux séries spéciales ou limitées, histoire d’entretenir la flamme et de faire souffrir le porte-monnaie de ses aficionados.
Et puisqu’elle est britannique, elle est profite pour rendre hommage à deux quartiers londoniens, Bayswater, connu des seuls anglais ou presque, et Baker Strret, mondialement connu cette fois grâce aux regrettés Sherlock Holmes/Sir Arthur Conan Doyle et le musicien Jerry Rafferty, qui l’avait si bien mis en chanson.
L’édition Baker Street se distingue par un toit peint en Rooftop Grey, ainsi que les coques de rétroviseurs et les jantes.
On trouve bien sûr les incontournables bandes sur le capot, sans lesquelles une Mini ne serait pas vraiment une Mini et cette version n’est commercialisé qu’en finition Cooper, dotée du 1.
6 litre essence atmosphérique de 122 ch.
La version Bayswater se distingue, elle, par sa robe bleue voulue plus fun que la Baker Street, des jantes de 17 pouces, une déco intérieur fune et d’autres babioles.
Elle aussi est proposée en version Cooper avec le moteur de 122 ch mais peut aussi recevoir le 1.
6 litre turbo de la version Cooper S et ses 184 ch.
Les tarifs ne sont pas encore connu mais ils seront salés, comme il se doit avec BMW, pardon, Mini.
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