Le principal reproche a adresser au Honda CR-Z est qu’il a de sportif que sa ligne.
Le moins que l’on puisse dire est qu’une voiture hybride ne procure pas encore les mêmes sensations qu’une thermique au volant.
Mais voilà la version ultime du CR-Z, hélas réservée à la compétition.
Si le petit coupé demeure hybride, sous le capot avant, il en va tout autrement avec un méchant V6 biturbo de 2.
8 litres dont on ignore la puissance, dommage.
Conçu pour participer au championnat GT 300 qui donne une grande liberté technique, ce CR-Z y retrouvera une autre hybride, une Toyota Prius tout aussi dévergondée.
Ne reste plus qu’à espérer une version routière ultime de ces deux engins…
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