Renault Groupe (marques Renault, Dacia et Samsung Motors) va mieux que PSA, c’est une certitude.
Mais attention, Renault a vu ses bénéfices fondre en 2012 sous le coup de la crise automobile en Europe.
Le constructeur en est au stade à espérer que ses activités automobiles dégageront de l’argent en 2013.
Le bénéfice net part du groupe a reculé de 15,3% l’an dernier à 1,77 milliard d’euros, selon les chiffres communiqués jeudi 14 février.
Le montant inclut une plus-value exceptionnelle de 924 millions d’euros liée à la liquidation de la participation dans le groupe suédois AB Volvo.
Le numéro deux français de l’automobile a aussi profité de la contribution de ses alliés, le japonais Nissan et le russe Avtovaz, plus Volvo.
Elle atteint 1,5 milliard, un montant équivalent à celui de l’année précédente.
La marque au losange s’en sort aussi et surtout parce qu’elle réalise la moitié de ses ventes à l’international, et est donc moins dépendante que PSA Peugeot Citroën d’un marché européen en berne…“En Europe, dans un contexte très difficile, notamment en France, le groupe a maintenu une politique commerciale rigoureuse et a amorcé le renouvellement de sa gamme (Clio 4, Captur)”commente le PDG Carlos Ghosn, cité dans le communiqué.
Le bénéfice d’exploitation ressort à 122 millions d’euros, contre 1,2 milliard un an auparavant.
Il a dû passer des dépréciations liées à “la dévaluation de la devise iranienne et de charges de restructuration”, selon le communiqué, mais aussi “à dégradation de six lignes de véhicules”, a expliqué le directeur
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