Commercialisée il y a tout juste 5 ans, la seconde génération du ludospace de Renault s’offre son tout premier restylage.
Mais la marque s’est d’abord attaquée à la version utilitaire.
Le modèle grand public devrait logiquement suivre et faire ses débuts à Genève dans un mois.
Le Kangoo adopte la nouvelle calandre de la marque au losange, avec un logo agrandi et “verticalisé”.
Le dessin du capot est modifié en conséquence.
Les optiques évoluent aussi : leur forme est plus simple, avec des clignotants mieux intégrés.
On remarque aussi un bouclier inédit et un nouvel habillage pour les feux.
A bord, la console centrale a été redessinée.
Laquée noir et cerclée de chrome, elle est inspirée par celle du petit SUV Captur.
Le volant aussi est nouveau.
Côté équipements, signalons l’apparition du système multimédia R-Link.
Celui-ci offre la navigation intégrée TomTom Live et de nombreuses fonctionnalités comme les alertes de zones dangereuses ou les applications téléchargeables avec par exemple la lecture des emails.
RenaultExpress 2013Le véhicule propose également la nouvelle génération d’ESC associé à l’aide au démarrage en côte (Hill Start Assist) et à l’Extended Grip pour une motricité accrue en conditions difficiles.
La caméra de recul fait son apparition avec un écran intégré au pare-soleil conducteur.
Le nouveau Kangoo utilitaire est toujours proposé en 3 longueurs : Compact, Express et Maxi.
Pour la première fois, Renault propose une option 3 places à l’avant, comme le faisait déjà Citroën et Peugeot avec les Berlingo et Partner.
La version longue peut être dotée de 5 places.
Sous le capot, le diesel est évidemment majoritaire, avec des dCi 75, 90 et 110 ch.
Pour l’essence, on retrouve le TCe 115 ch.
La version Z.
E.
est toujours disponible.
Celle-ci bénéficie des mêmes modifications esthétiques.
La prise de recharge migre derrière le logo de la face avant.
Tous les Kangoo sont toujours fabriqués en France, dans l’usine de Maubeuge.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension