30 000 commandes d’engrangées par Opel en Europe depuis son lancement commercial en mars 2013 prouvent que l’Adam est un succès et que la marque au Blitz a tapé dans le mille en reprenant et optimisant la recette efficace inaugurée par les Mini et Fiat 500, celle de la petite citadine-chic, ou premium, comme vous voulez, personnalisable à l’envi.
Personnalisable même à l’infini pour l’Adam, demandez à un commercial de la marque comme c’est difficile pour s’y retrouver parmi toutes les combinaisons possibles…De plus, cette Adam est une bonne affaire pour Opel car développer sur la base technique largement amorti de la citadine Corsa.
Base technique qu’Opel partage avec Fiat qui l’utilise pour sa Punto.
Raccourcie, cette plate-forme pénalise bien sûr l’Adam au niveau habitabilité arrière et volume de coffre mais c’est une mini-citadine dans l’esprit et ça ne l’empêche pas de se vendre.
L’Adam reprend aussi les mécaniques de la Corsa en les modernisant : meilleur exemple le quatre cylindres 1.
4l, qui développe 100 ch sous le capot de la Corsa mais seulement 87 pour l’Adam.
Opel a cependant optimisé le couple et installé un start & stop, ce qui est logique pour cette voiture et cela fonctionne, la souplesse d’utilisation étant au rendez-vous.
L’Adam va même pouvoir montrer ses médailles car elle vient de se voir attribuer le prix du design industriel de l’année, ce qui est, parait-il, important pour les professionnels.
Opel signale à cette occasion que sa berline Insignia avait déjà reçu ce trophée.
Les membres du jury qui attribuent ce prix ont soulignés que “l’Adam se singularise par ses formes qui échappent à la mode.
” Attendons quand même quelques années pour savoir si ça sera le cas !
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