Il ne faut jamais désespérer, Toyota nous le prouve encore aujourd’hui ! Alors que la version Lexus du Land Cruiser est en lice pour le titre de la voiture la plus laide de l’année, la version Toyota, si elle garde sa grande gueule, le fait avec une classe qui manque nettement à la vison de Lexus alors que celle-ci devrait être naturellement plus distinguée et que l’on n’aurait sans doute pas reproché à Toyota de vouloir se faire remarquer avec un design choc ! Allez comprendre la démarche des designers du constructeur japonais… Ce restylage de mi-carrière permet au gros 4×4 (un des derniers qui n’ait pas basculé du côté obscur des SUV) de Toyota de se mettre à jour en changeant complètement sa face avant dont les phares, curieusement effilés pour un tel mastodonte, accueille les incontournables et obligatoires feux diurnes à diodes.
Les boucliers avant et arrière, les jantes ainsi que les feux arrière ont aussi eu droit à leur coup de pinceau, sans que cela ne bouleverse complètement le Land Cruiser.
C’est du côté des équipements que cette mise à jour est le plus sensible : les dossiers des sièges de la deuxième rangée sont désormais inclinable à 46° vers l’avant afin de faciliter l’accès à cette troisième rangée.
La planche de bord, outre de nouvelles garnitures, reçoit un écran d’information en dessous des compteurs et des commandes de transmission intégrale revues.
Pour terminer, les sièges arrière ont été redessinés et de nouveaux tissus sont disponibles.
La mécanique ne change pas hormis la mise aux normes Euro V du V6 diesel de 3 litres qui développe toujours ses 190 ch.
Ce nouveau Land Cruiser sera bien sûr présent au salon de Francfort sur le stand Toyota.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension