Il y a les constructeurs, comme Peugeot ce matin, qui dévoilent l’intégralité de leur programme pour Francfort d’un coup (ce qui donne une sacrée charge de travail).
Et il y a ceux qui présentent les choses les une après les autres pour faire durer le plaisir.
Opel est de ceux-là.
Exemple avec la nouvelle gamme de l’Insignia.
On a d’abord découvert, en toute logique, la version classique.
Puis le baroudeur Country Tourer.
Voici enfin l’OPC ! Pour cette version sportive, les changements esthétiques se font rares car ce qui faisait la spécificité de l’OPC, comme les prises d’air couleur aluminium verticales, est inchangé.
Le bouclier arrière est lui aussi identique, avec deux sorties d’échappement affleurantes à la carrosserie.
Les modifications se concentrent donc surtout au niveau des optiques.
Les phares adoptent un petit décroché dans leur partie basse tandis que les feux prennent en étau la baguette chromée qui englobe le logo.
Les plus attentifs auront aussi remarqué la nouvelle barrette dans la calandre.
A bord, on retrouve les mêmes transformations que sur les autres Insignia cru 2014.
L’OPC rajoute (en option) un inédit volant sport.
Opel Insignia OPC restylée Pas de changement sous le capot.
La puissance du moteur reste à 325 ch, le couple est toujours de 435 Nm maxi.
La vitesse est limitée à 250 km/h.
Sans la bride, la version dotée de la boîte manuelle peut atteindre 270 km/h.
Le 0 à 100 est réalisé en 6 secondes avec la berline (6,3 secondes pour le break).
L’OPC profite des améliorations techniques apportées à l’ensemble de la gamme.
Le châssis a été revu en profondeur pour améliorer la tenue de route et le confort, avec une réduction du bruit et des vibrations.
La prochaine étape pour l’Insignia pourrait être l’arrivée d’une version encore plus musclée.
La rumeur évoque une « Nürburgring Edition » de 400 ch.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension