Lancé en 2008, le Discovery 4 (qui était en réalité une version restylée de la 3ème mouture apparue trois ans plus tôt) s’offre un léger lifting.
Une petite opération chirurgicale pour relancer tant bien que mal sa carrière, qui a été rallongée pour laisser la priorité au renouvellement de la gamme Range Rover.
Bon, ce n’est pas avec les minis changements que l’on découvre que le Discovery va pouvoir sauver ses ventes.
Une fois de plus, c’est le service minimum.
Seuls les plus attentifs remarqueront la nouvelle grille de calandre ou le nouvel intérieur des optiques, avec un éclairage diurne dans la veine de ceux des dernières productions de la marque.
S’il fallait retenir un détail intéressant, ce serait la présence de l’inscription « Discovery » en grosses lettres au bout du capot.
Il s’agit d’une première étape vers l’évolution de la gamme classique de Land Rover.
La marque britannique souhaite faire comme avec les Range en proposant une famille de modèles autour du Discovery.
Le prochain Freelander, attendu pour 2014, sera ainsi rattaché à cette nouvelle ligne de produits.
Sous le capot, on retrouve le même bloc diesel 3.
0 SDV6, dont la puissance ne bouge pas (256 ch).
Mais grâce à l’arrivée d’un Stop and Start, les émissions de C02 sont en baisse, passant de 230 à 213 g/km.
Une valeur qui reste élevée mais quand on a une voiture qui pèse plus de 2,5 tonnes …Quelques nouveaux équipements font leur apparition, des friandises empruntés aux nouveaux Range Rover, comme le détecteur de hauteur d’eau intégré dans les rétroviseurs, qui vous indique si la rivière que vous traversez n’est pas trop profonde.
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension