On savait que les hommes politiques étaient tous pourris et menteurs, on découvre aussi (ou pas) qu’ils manquent d’imagination.
La prétendue crise économique étant une bonne excuse pour bastonner des impôts et taxes à tout va, on se doutait que, ayant déjà été durci, le bonus/malus écologique n’allait pas échapper à un durcissement de ses règles..
Et pour un coup de massue, le bonus va en prendre un sacré contre la gueule car il est tout simplement question qu’il soit supprimé, rien que ça ! Il subsisterait simplement pour les voitures hybrides et électriques mais en étant bien sûr réduit.
D’un côté, il serait enfin logique que les citadines diesel ne bénéficie plus de ce bonus, polluant plus que les voitures essence mais rejetant naturellement moins de CO2 qui, rappelons-le, n’est pas un polluant mais un gaz à effet de serre.
Évidemment, le malus écologique va être durci en parallèle, pouvant monter jusqu’à 8 000 € pour des supercars par exemple.
Le système du bonus/malus écologique, pas idiot à la base, était prévu pour que les recettes du malus compensent les dépenses du bonus dans le pire des cas..
Bien sûr, outre les défauts sus-mentionnés, les hommes politiques sont de bien piètres gestionnaires, surtout quand il ne s’agit pas de leur argent (qu’ils planquent en Suisse).
Ce qui explique que le système ait toujours été déficitaire et soit durci chaque année.
Au moins, l’incompétence des hommes politiques leur a fourni une bonne excuse…
Nous prenons souvent pour acquis la douceur et le confort de nos véhicules modernes, mais c'est grâce à un élément essentiel du système de suspension